Chaumont3Flashing2

 

(22-25, 15-25; 25-23, 26-24, 15-7)

 

CHAUMONT : Julie Grégoire, Fabienne Martin, Caroline Claerbout, Ersa Guler, Stéphanie Gustin, Fanny Denef, Eline Botte, Laureline Colonius, Élodée Docquier, Julie Perniaux, Céline Vander Vorst, Marie Remy.

 

Si les Chaumontoises veulent conserver une chance de rejoindre Flashing en tête au classement, elles devaient impérativement s’imposer dimanche soir face à leurs adversaires directes. Les deux équipes sont à égalité de points avant le match. Flashing a l’avantage d’avoir joué un match de moins.

 

Le public s’était rendu nombreux à la salle André Docquier dimanche soir. Et, le moins que l’on puisse écrire, c’est qu’il y a eu de l’ambiance. Les Chaumontoises emmènent les premiers échanges. Bonnes au service, les visites avancent à 15-10. Elles butent ensuite en réception sur les excellents services visiteurs (19-22). Élodée Docquier ramène 21-22. La conclusion est pour Flashing.

 

Chaumont sert mieux

 

Les visiteuses poursuivent sur leur lancée dans la 2e manche, ne laissant qu’une chance à leurs hôtes (15-25). La 3e manche est identique à la précédente. Flashing s’envole après 7-8 pour mener 7-16 alors que les visitées multiplient les erreurs au service. À 17-23, tout le monde pense que le match est emballé. Stéphanie Gustin alimente alors Élodée Docquier autant que faire se peut. L’attaquante visitée multiplie les points gagnants. Caroline Claerbout se met, elle aussi, en évidence. Chaumont renverse les rôles : 25-23.

 

La partie s’équilibre dans la 4e manche. Chaumont sert beaucoup mieux. Flashing avance à 14-17, Chaumont revient à 17 partout par Céline Vander Vorst. Les deux équipes se tiennent jusqu’à 24 partout. Chaumont conclut 26-24. Les visiteuses accusent le coup dans le tie-break (15-7).

 

L'équipe de Serge Kerres, revient à deux points de Flashing : «Nous restons dans le circuit. Nous nous sommes fait exploser en réception dans les deux premiers sets. À mon avis, nous avons gagné contre les futures championnes. À un moment donné, je me suis assis. J’ai indiqué aux filles que je ne les coachais plus. Elles commettaient beaucoup trop d’erreurs. Les filles se sont reprises. Nous devons également une fière chandelle au public. Il y a rarement eu autant de monde et d’ambiance dans la salle.»